En fait, le gros problème est de contrer les nombreux archers et arbalétriers (5 je crois). Contre eux, le bonus de soutien des piquiers ne compte pas, et ils n'ont qu'un bonus de +3.
En plus, après quelques tirs bien ajustés, toute la ligne est désorganisée...et ce n'est pas un pauvre psiloïs qui les retient longtemps...
Sans compter l'artillerie qui peut faire des ravages dans des unités d'infanterie lourde.
Contre les chevaliers, c'est sûr, les piquiers sont très forts (+7 avec le soutien d'un deuxième élément)...encore faut-il les attraper.
Ancrer l'armée sur le décor c'est bien, sauf que les archers ne sont pas très désavantagés en terrain difficile.
Historiquement, les deux ou trois fois où ces armées se sont affrontés ont démontrés la puissance des formations de piquiers: déroutes adverses à chaque fois. C'est d'ailleurs à partir de cette époque où on voit se développer les formations mixtes piquiers/arquebusiers qui donneront les futurs tercios espagnols du XVI siècle.